dimanche 31 janvier 2010

Chambre d'Amour, de très près.

J'ai déjà chanté ma passion pour ce lieu.
Déjà dit combien son inscription dans le paysage, combien sa silhouette et son dessin m'enchantent.
Alors je continue à me nourrir des images des cartes postales pour le visiter virtuellement en attendant de m'offrir un séjour là, au bord de mer, dos au paquebot du V.V.F.
Trois cartes postales comme un travelling :



Un peu du ciel, un peu d'une hauteur voisine, voici le V.V.F d'Anglet dans toute sa splendeur.
Meurtrières avec vue sur la mer, pyramide allongée, la masse bien dessinée se languit sur la plage.
Rien à dire : une merveille.
Regardons bien aussi les jeux pour les enfants, ne les dirait-on pas du groupe Ludic ?
Cette carte postale aux éditions du Rocher n'est pas datée.
Puis doucement nous descendons :



Regardez moi ça !
Les masses aveugles, les lignes pures et cernées, et les matériaux en oppositions forment encore une construction remarquable de stabilité, de puissance.
Le photographe de chez Combier, comme d'habitude a bien travaillé. La carte postale nous indique le nom de l'architecte : Cabinet Hébrard à Bayonne. Merci à ce cabinet pour ce merveilleux bâtiment. La carte postale fut expédiée en 1982.
Entrons ensemble :



Nous voici dans le salon. De la lumière !
C'est surprenant comme l'image extérieure peu donner la sensation d'une architecture fermée mais les fentes sont finalement généreuses et laissent le jour entrer.
Du bois, du plastique, de la toile bleue et avec une belle simplicité, sans trop d'effets de mode mais aussi dans son époque le mobilier et l'agencement sont sobres et élégants, presque frustes.
La carte postale est une édition de l'Europe en Euroluxe, sans date.
Cela a changé car le V.V.F d'Anglet vient d'être refait.
De retour de baignade, comme il doit être reposant de prendre là une menthe à l'eau.


le Ministre de la Culture recevra


Hier fut une journée importante.
J'ai reçu la nouvelle carte postale de soutien à la demande de classement au titre des monuments historiques pour le centre commercial de Sens de Monsieur Claude Parent.
Celle-ci est adressée, à la différence de la première, directement au ministre de la Culture. Mais certains d'entre vous peuvent poursuivre s'ils le désirent une action directement auprès de la D.R.A.C Bourgogne en envoyant simplement un courrier et en affirmant ainsi votre soutien.
Cette nouvelle carte postale est disponible gratuitement, il vous suffit de me la demander et je vous la fais parvenir illico presto.
Il faut nous dépêcher car les réunions concernant ce classement approchent et il faut aussi jouer de l'actualité débordante autour de notre architecte.
Merci de bien envoyer les cartes postales et de ne pas les garder en souvenir... Si vous désirez en garder une demandez-en deux !
Et puis comme une joie n'arrive jamais seule, c'est sur un nouvel ordinateur que j'écris ce message.
Il brille, il est plus grand et plus puissant. Comme le sera le centre commercial quand il sera classé !
J'attends vos adresses avec impatience !
p.s :
Merci à Alan et à Stéphanie de leur patience amusée !

mercredi 27 janvier 2010

d'eau et de glace

Ce qui pourrait réunir ces deux constructions c'est bien l'utilisation de ce merveilleux matériaux qu'est le lamellé-collé.
Permettant toutes les audaces formelles, les courbes les plus folles, il a révolutionné les charpentes de nos constructions modernes.
Voyez ces deux exemples :



Ce bâtiment nous le connaissons bien sur ce blog mais vu de l'extérieur. Il s'agit de la piscine d'Aulnay-sous-bois que nous avions vue le 1er juin 2009.
Regardez comme l'ensemble du toit se pose en une pointe, en un appui visible à la gauche de l'image, produisant cet effet saisissant de courbe légère. Les nervures se croisent offrant la rigidité désirée ce qui produit un beau dessin.
Et splatch, je plonge !
Et ça crie, ça court à l'abri du grand voile de bois chaleureux.
Belle construction qui, je vous le rappelle est due à messieurs Berthelotet et Verdoïa architectes et monsieur Lourdin ingénieur.
Cette carte postale est une édition Raymon expédiée en 1989.
Et encore :


Une belle courbe passe de gauche à droite et couvre ainsi la patinoire de Deuil la Barre. On s'amusera aussi de l'auvent à l'entrée qui semble s'écraser sous son poids. C'est élégant, drôle, un rien baroque, presque trop sinueux.
Cela se veut très moderne. J'imagine la main dessinant ça : hop ! zip ! Un coup de crayon que le dessinateur reprendra aux gabarits, aux perroquets pour donner au geste une ligne définitive.
Je ne trouve pas le nom de l'architecte de cette modestie construite. Dommage.
On s'interrogera sur le petit décrochement de la courbe à gauche et sur la sensation d'un toit en pente à droite derrière l'arbre. Cette patinoire nous mentirait-elle en façade ?
Mais voilà bien une petite construction élégante, sans prétention qui sait nous faire sourire en allant patiner avec les amis.
Le photographe a su prendre les courbes du jardin pour les lier à celles du bâtiment. La lumière fait briller les parois d'aluminium (?). Il s'agit d'une très belle carte de chez Lyna éditeur. Toujours aussi remarquable.
La carte postale fut expédiée en 1979.

j'ai besoin de vous

Bonjour,
Si vous êtes un lecteur, une lectrice de ce blog, si vos encouragements sont valides, si vous aimez les bâtiments présents sur ce blog, si vous avez exactement 30 secondes à me consacrer alors vous allez lire ce qui suit et vous allez signer la pétition.
Cela ne fait pas mal, cela est gratuit.
Merci à vous.

Bonjour à tous

Nous venons d'apprendre que nous passions le grand oral le 11 Février prochain devant le Tribunal Administratif de Montreuil pour les Poètes .
Compte tenu du contexte, nous considérons qu'une pétition réunissant plus de 2000 signatures devrait nous permettre d'être audible, c'est pourquoi votre signature et toutes celles que vous pourriez obtenir sont essentielles dans notre action ( merci de préciser votre ville / département / votre activité etc... ) de sauvegarde et de réhabilitation des Poètes .
Www.ipetitions.com/petition/quartier_des_poetes/
Vous trouverez en pièce jointe :
- notre communiqué de presse du 30 Novembre 2009
- la photo/fiche des Poètes extrait de l'Atlas du Patrimoine de la Seine-St-Denis

Merci sincèrement pour votre aide

Olivier Nouyrit
pour DOCOMOMO France, secrétaire

mardi 26 janvier 2010

Erasmushuis



Je vous ai déjà montré cet immeuble dans le cadre de la collection Persitz découverte par Claude Lothier.
A l'époque je n'avais pas donné de nom d'architecte : il s'agit du très grand Dudok.
Cette nouvelle carte postale aux éditions "Rembrandt" nous montre un nouveau point de vue mettant bien en évidence le dessin remarquable de l'immeuble qui semble vouloir afficher avec clarté ses circulations intérieures et extérieures et même si nous en sommes loin cela n'est pas sans m'évoquer Beaubourg.
Faire du cheminement, du parcours intra et extra-muros à la fois un élément structurel et, oui, dynamique est bien une idée commune aux deux constructions.
Regardez comme il suffit de suivre le piéton sur le trottoir pour comprendre comment il va parcourir le bâtiment.
Soit il va passer sous l'édicule sur pilotis et monter directement, soit il va être avalé par l'escalier en colimaçon superbement évoqué dans une petite tourelle, traverser la petite construction qui agit comme un pont et rejoindre à son tour l'immeuble.
La volée d'escalier est celle des secours (?).
La succession des volumes en décrochements offre cette vibration, ce dynamisme constructif si remarquable dont le visiteur est le moteur.
La carte postale en noir et blanc colorisée est bien de son temps. Le photographe a su dans son format en hauteur placer les volumes et leurs articulations tout en animant l'ensemble. La carte postale est expédiée en 1955.
Je vous remets ci-dessous la première carte postale publiée sur ce blog au mois de mai 2008.

Elle est éditée par J. G. v. AGtmaal à Hilversum... comme par hasard !

lundi 25 janvier 2010

TROPIC photo, Jean Trolez



Il s'agit certainement d'une de mes plus belles cartes postales.
Nous sommes à Libreville au Gabon et la carte postale nous indique : nouvel aspect de Libreville, la Rénovation.
Elle est due à Tropic Photo à Libreville.
Quelque chose de Chandigarh...
Dans les travaux du bâtiment administratif dû à l'architecte (?) Gau dont je ne sais rien, même pas si il s'agit là d'un nom ou d'un acronyme, donc dans ces travaux, une femme africaine pose dans l'embrasure d'un volume laissé pour le moment brut de décoffrage.
Elle pose c'est une évidence.
On devine pourtant dans ce plan serré les volumes de la construction qui ne sont pas sans évoquer ainsi des volumes de Le Corbusier.
La finesse du corps enveloppé de rouge contraste superbement avec le béton gris. Les pieds nus et la main gauche en appui léger sur le bâtiment (une réticence ?) elle incarne certainement pour le photographe l'Afrique, sa jeunesse, sa beauté en opposition avec cette modernité sortant du sol, fraîche et puissante.
On pourra aussi admirer l'échelle de bois bricolée en arrière plan. Elle dit les travaux, la simplicité d'un outil.
Le photographe a donc décidé de ne pas attendre la fin du chantier pour faire son image. J'imagine le jeune modèle, grimpant en riant par cette échelle et sur les ordres du photographe posant là, dans l'interstice du béton.
L'image est très bien composée, pensée. La carte postale d'ailleurs ne parle pas de l'architecture et ne dit rien en son verso du lieu. La Rénovation, son titre, laisse croire à un moment de l'histoire du pays, un nouveau développement qui pourrait correspondre à un changement brutal dans son histoire.
Si je ne trouve que peu de choses sur l'architecte, je trouve une petite information sur TROPIC photo. Le photographe de ce studio serait Monsieur Jean Trolez installé dans les années 60.
Je retrouve d'ailleurs ma carte postale ici.
Elle appartient à une série sur les dentelles ! Le fonds Trolez est disponible donc auprès du Centre Culturel Français. Beaucoup de ses images ont donné lieu à une édition en carte postale...
On peut aussi voir le bâtiment terminé.
Voici :



Il se nomme immeuble des finances. On peut très facilement retrouver le lieu de la prise de vue. Nous avons une date : 1973.

dimanche 24 janvier 2010

OPHLM, incroyable édition 4

Nos "messieurs propre" (sic), Olivier Perrot OPHLM

souvenir de locataire, archives Polmont locataire OPHLM

Greuze vers les années 80, l'une des premières cités en France qui a fait l'objet d'une "démolition-reconstruction", archives Société d'Histoire de Nanterre

quartier du Parc, la résidence des Champs Pierreux, Olivier Perrot OPHLM

Greuze 2001, Olivier Perrot OPHLM

enfants de Zilina, archives Société d'Histoire de Nanterre


Petit Nanterre 2001, résidence le Muguet, Olivier Perrot OPHLM

OPHLM, incroyable édition 3

Elisée Reclus, Olivier Perrot OPHLM
Réhabilitation, Olivier Perrot OPHLM

le personnel de l'Office, Olivier Perrot OPHLM

amicale de locataires, pétanques en 2001, Olivier Perrot OPHLM

le champ aux Melles en 1970, Europimage OPHLM

bien des histoires de jeux, d'amour (sic) archives Société d'Histoire de Nanterre

Paul Vaillant-Couturier vers 1953, première construction de l'Office HLM

1960, une affiche archives OPHLM

"souvenirs, souvenirs..." Olivier Perrot OPHLM


les tours Aillaud 1977-79, archives Société d'Histoire de Nanterre

OPHLM, incroyable édition 2

1992, l'opération Cité-Foot en 1993 archives OPHLM

De la gazoline pour mon Solex... archives Christiane Cousantier

Visite des Pâquerettes en réhabilitation, archives Société d'Histoire de Nanterre

Visite du chantier en 1983, archives Société d'Histoire de Nanterre

Démolition en 1992, la cité des Marguerites, cliché Claire Macel

Le personnel de l'Office, 1975, archives Yvonne Deangeard OPHUM

Petit Nanterre 1960, Lopofa dit Cité Dequéant, archives municipales de Nanterre

Quartier Lorilleux, en 1965 cet ensemble compte 483 logements ; il vient d'être réhabilité en 2001. Archives Société d'Histoire de Nanterre.

La COOP du Petit-Nanterre.


1982, résidence des Damades, 1981-82, archives Société d'Histoire de Nanterre

OPHLM, incroyable édition 1

Ce matin, sous le toit bien plat du boulodrome affreux de Saint Pierre-lès-Elbeuf, je suis allé fouiner pour nous trouver quelques cartes postales lors d'un vide-grenier.
Je n'ai pas perdu mon temps car je suis revenu avec un beau paquet de cartes postales.
Et surtout avec cette très belle et étonnante édition qui, vous allez le voir, semble avoir été créée pour notre regard.
Il s'agit d'un petit porte-folio contenant trente-six cartes postales éditées à l'occasion des 50 ans de l'OPHLM de la ville de Nanterre.
Mélangeant les images d'époque, parfois spectaculaires, des documents de famille et des vues ressemblant à des cartes postales de l'époque, ce porte-folio est parfois très proche de celui de NogoVoyages.
Il est intéressant de constater que c'est par ce type d'objet et non un livre que cet anniversaire fut célébré. Il y a là un regard attentif sur la popularité du genre et la réminiscence possible de clichés retrouvant une forme qu'ils auraient bien pu avoir il y a 50 ans.
C'est assez touchant car évidemment pour moi c'est le serpent qui se mord la queue. Comme une rétro-vision.
Et en plus les images sont parfois émouvantes, pleines de vie et de gens.
Les vrais gens, comme ceux débusqués dans les recoins des cartes postales, là par hasard et cette fois là parce qu'on veut les voir.
Juste retour sur les lieux.
Le petit texte d'introduction imprimé sur un calque discret et fragile est écrit par Michel Laubier.
Je vous laisse le lire. Il dit des choses importantes simplement.
Ce petit porte-folio à lui seul me semble si important que je décide à l'instant de vous le montrer dans sa totalité, oui.
36 images pour raconter ce que nous pensons souvent ici, l'architecture, ceux qui y habitent et la vie qui se joue là : importante.
C'est imprimé par LNI.
cliquez pour lire plus facilement.

Le 1er carnaval des provinces, 1958, archives Société d'Histoire de Nanterre

Des hommes qui ont fait le Nanterre d'aujourd'hui (de gauche à droite) Lors de la pose de la première pierre de l'Office en 1953 Pierre BOUGAS, président de l'Office, Etienne FAJON, député de la seine, Raymond BARBET, Maire.

"Est-ce ainsi que les hommes vivent ?"
Le bidonville des Provinces Française. Photothèque EPAD Société d'histoire de Nanterre

Les tours Aillaud, cliché Olivier Perrot OPHLM

Les derniers bidonvilles, Provinces Françaises vers 1969 Photothèque EPAD Société d'histoire de Nanterre

Rencontre avec les locataires
Michel LAUBIER, premier-adjoint s'adresse aux habitants des provinces françaises en 1988. A ses côtés Jean-Pierre CAMPOS maire adjoint et Patrick JARRY conseiller municipal

De génération en génération, premiers locataires, archives OPHLM

les tours Aillaud

Avenue Joliot-Curie, bâtiment A en 1959, archives municipales de Nanterre



samedi 23 janvier 2010

tournesol et araignée


Je reçois ce matin une nouvelle piscine tournesol en carte postale. Il s'agit de celle de Loudun dans la Vienne.
La carte postale Cap-théojac est expédiée en 1985 pour un concours dont la réponse est montagne...
On sait ici mon goût pour ces constructions. Voyez les articles qui y sont consacrés.
Mais ici, le point de vue du photographe me révèle la structure un peu différemment, finalement avec une analogie que je n'avais pas encore vue : la toile d'araignée.
Le toit, résille de métal et coquille de plastique, nous laisse voir sa structure concentrique qui me fait donc penser à la bête à huit pattes.
Et aussi cette image me montre de dos une fillette au bord du bassin. Sa posture, le dos arrondi, la tête rentrée dans les épaules me laissent penser à une hésitation à rejoindre l'eau. Une petite peur qui provient certainement de cette araignée gigantesque quelque part au fond du bassin !
L'architecte de ces merveilles est Monsieur Schoeller, il n'est pas nommé sur cette carte postale.
J'ai reçu récemment un message de la Société Hydrotec qui s'occupe aujourd'hui de ces bâtiments. J'ai beaucoup de questions à leur poser !
Je vous donnerai leurs réponses.

Vigie



Ce qui est remarquable c'est la volumétrie.
La dissociation des deux objets, la tour de vigie et le réservoir d'eau douce produisent des vides délicats, des interstices si fins et contrastant fortement avec les masses.
Presque à touche touche.
Un couple dont les différences de chacun nourrissent l'autre.
Laurel et Hardy.
Le grand fin, terminé en éventail aplati s'ouvre sur l'extérieur, c'est sa fonction de vigie, balcon dans le ciel regardant le trafic des pétroliers. Le dessous nervuré comme une aile de chauve-souris déployée, le plissé d'une jupe fait un peu d'ombre mystérieuse au cône.
Pointue, découpée en plaques assemblées la vigie est, si on regarde bien, moulée en béton brut aux coffrages striés délicatement travaillant la surface de petites lignes dont la fonction constructive reste inédite.
Le petit cône, en dessous mais prenant ses aises en allant à la rencontre de la vigie, offre une forme simple bien connue mais à la justesse réelle en opposition avec sa sœur.
Les horizontales du coffrage disent bien son moulage, son ascension tranquille. Ça pousse du sol.
Le versoir dessiné par Le Corbusier sans qu'il le sache, comme un petit bec doit offrir les jours de grandes pluies une cascade merveilleuse tombant en fracas sur le sol, c'est ce qui a nourri la pousse. L'eau douce dedans, l'eau douce dehors.
N'oublions pas le morceau de dessin géométrique de la façade en bas à gauche et le V du toit à droite.
Partout encore, ce bleu de ciel contre ce gris du béton. Il faudrait écrire sur ces deux couleurs fonctionnant comme un désir du moderne. Ce gris indifférent, qui prend chaque ombre des interstices des planches de coffrage, laissant apparentes aussi les coulures de l'humidité.
Et ce bleu capté encore et encore par les peintres découpe les formes comme aux ciseaux en se dégradant vers l'horizon.
Je n'oublie pas le contrepoint d'un orange de carrosserie. Une Wolkswagen garée là par hasard, nous ramène au sol et nous dit l'échelle.



Mon œil n'arrive pas à quitter ce petit espace entre les deux formes. Si proches...



Sur le toit du cône, le coffreur a dû s'appuyer contre la vigie réunissant là les deux compères. Quelle chance !
Voyez ce que nous dit notre guide d'architecture contemporaine en France :


les architectes messieurs Jaubert et Lopez ne sont pas nommés sur cette belle carte postale "La Cigogne". la carte fut expédiée en 1985 de Martigues.